Ma Dina, ma petite mamie, ma fille d’amour,
Tu as été et tu resteras mon premier bébé, le premier petit être qui m’a fait apprendre le sens des responsabilités et l’amour inconditionnel. Ces 15 années passées à tes côtés ont été merveilleuses, parfois difficiles mais authentiques. Tu étais remplie de vie, si dynamique et si affectueuse. Tu nous suivais partout, cachée dans mon sweat pour nos week-ends autocross quand tu étais bébé, pour nos promenades dominicales, lors de mes descentes à Poitiers, lors des repas de famille. Tu as été présente lors des moments les plus graves. Tu te couchais le soir près de moi sur le canapé, couchée dans le creux de mes genoux…
Tu me manques tellement ma chérie, à Lionel aussi. Tu manques aussi à Faustine et à Soren qui ont du mal à retenir leurs larmes en pensant à toi. J’aurais aimé faire plus pour t’accompagner sur la fin de ta vie, être plus présente…
Nous t’aimons très fort et j’attends de te retrouver quand mon tour viendra. J’espère que tu te tiendras à leurs côtés, notre famille.
Le premier soir lorsque nous t’avons accueillie, tu as pleuré la nuit. Nous t’avons retrouvée debout sur la table de la salle à manger alors que tu n’étais qu’une toute petite boule de poil. Nous avons dû nous relayer cette nuit-là pour dormir à tes côtés.